vendredi 21 décembre 2012

MEILLEURS VOEUX POUR 2013



EGP SEASON'S GREETING!

EUROPEAN GREEN PARTY
MEILLEURS VOEUX POUR 

UN 2013 VERT ET SOLIDAIRE! AUGURISSIMI PER UN FELICE 2013!


Vers un futur soutenable: vivre mieux, vers la société écologique



La fin de l'année appelle l'heure des bilans. Après 6 mois de gouvernement socialiste en France, il n'est pas inutile de rappeler l'insuffisance des politiques publiques en matière écologique et sociale, ces 2 dimensions allant de pair.

La poursuite des tendances actuelles de production et de consommation dans les pays industrialisés fait peser sur la planète des risques environnementaux et humains inacceptables. Cela a été particulièrement marquant au Japon avec la catastrophe de Fukushima l’année dernière.


En France, les ambitions fortes du Grenelle de l’environnement ont vite été abandonnées en rase campagne, ne débouchant sur aucune véritable inversion des politiques publiques. La conférence sur l'environnement de Novembre 2012 lors de laquelle le président de la République a prononcé un beau discours n'a pas permis d'enclencher des changements significatifs. Les puissants lobbies et les multinationales qui opèrent dans les secteurs de l'énergie, de l'eau, du BTP, de la pêche, de l'agriculture, etc. continuent de dicter leur loi aux politiques publiques en France comme en Europe. Alors que les besoins fondamentaux (se nourrir sainement, se soigner et se loger) sont remis en cause partout, les écologistes entendant bâtir une alternative globale de vie en société basée sur la transition énergétique.
 Une loi d’urgence doit  au plus vite jeter les bases de la transition écologique. Celle-ci consiste à :
-  En France sortir du nucléaire en 20 ans : cette sortie s’impose à cause: – du risque inacceptable d’un accident majeur comme à Tchernobyl ou à Fukushima - des déchets radioactifs extrêmement dangereux pour des milliers d’années – d’une production d’électricité hyper centralisée, sécuritaire et non démocratique – d’une utilisation de techniques favorisant le risque de prolifération nucléaire – d’une dépendance aux importations d’uranium – de raisons économiques certaines : il ne coûte pas plus cher de sortir du nucléaire que d’y rester. Il faut investir 400 milliards d’euros quoi qu’il advienne et nous aurons besoin des salariés et du savoir-faire du nucléaire pour créer une filière de démantèlement.
-Engager une programmation nationale pour les économies d’énergie : l’objectif est d’atteindre en 2020 une consommation finale inférieure de 15% à sa valeur de 2009, avec – une tarification progressive de l’électricité et du gaz permettant à tous un accès aux services énergétiques tout en décourageant les gaspillages – un renforcement de la réglementation interdisant les usages inutiles et énergivores (panneaux ou véhicules publicitaires, chauffage électrique individuel dans les logements neufs, etc.) – un audit systématique dans les entreprises – la multiplication des certificats d’économie d’énergie – un accompagnement des ménages, des TPE-PME et des collectivités. Cette politique permettra d’améliorer considérablement la situation des plus modestes en baissant la facture énergétique.
-Investir massivement dans la réhabilitation des bâtiments : près de 4 millions de familles françaises vivent actuellement en « précarité énergétique », en consacrant plus d’un dixième de leurs ressources en facture d’énergie. Les écologistes s’engagent à ce qu’en 2017, 500 000 logements par an soient rénovés, puis 950 000 à partir de 2020, avec : – des bâtiments publics exemplaires – des financements innovants pour une montée en puissance de la rénovation au niveau BBC –l’adoption d’un cadre juridique favorable et de nouveaux documents contractuels – la généralisation de la formation à l’isolation thermique – une obligation de rénovation niveau BBC à l’occasion de toute vente de logement à partir de 2020. 
-Réorienter les déplacements pour une politique écologique des transports: alors que les transports sont les responsables d’une part prépondérante de la consommation d’énergie fossile, notre objectif est la diminution du nombre et de la longueur des déplacements carbonés. Nous proposons donc que : – les régions deviennent des autorités organisatrices de la mobilité durable – que les investissements soient réorientés vers les transports de proximité – que la fiscalité intègre les coûts d’usage du véhicule – que la vitesse générale soit réduite – que personne ne soit à plus de 10 minutes d’un service public de transport.
-Développer les énergies renouvelables : celles-ci devront assurer en 2020 40% de la production totale d’électricité. Nos principales dispositions sont : – la simplification des tarifs et du cadre réglementaire – un droit à l’investissement citoyen dans les renouvelables – la réforme de la Contribution au service public de l’électricité (CSPE) au profit de la Contribution au service public de la chaleur renouvelable (CSPCR).
-Organiser et financer la transition énergétique : l’action publique en matière d’énergie nécessite une gestion planifiée et décentralisée en permettant : – aux communautés urbaines et d’agglomération d’avoir la compétence d’autorité concédante des réseaux de distribution – d’assurer l’indépendance entre les entreprises de transport et de distribution  (ERDF, GRDF, etc.) et les entreprises de production d’énergie (EDF, GDF Suez, Total, etc.) – l’encouragement aux investissements citoyens et coopératifs – la création d’une nouvelle fiscalité environnementale, dont la Contribution Climat Energie (CCE) qui reposera sur une triple assiette, énergie primaire, GES et risques environnementaux.
-Une transition européenne et internationale : bien évidemment, une telle politique, si elle n’est menée que par la France, sera totalement insuffisante face au péril climatique. Il s’agit donc de relancer les négociations pour prolonger et compléter le protocole de Kyoto en développant des outils internationaux permettant de financer l’accès aux technologies et énergies propres. Ainsi les écologistes proposent : – de mettre en place un mécanisme d’ajustement aux frontières de l’Union européenne afin d’empêcher la concurrence sociale et environnementale déloyale – d’engager la taxation des transports internationaux aériens et maritimes pour limiter leurs émissions – de faciliter les transferts de technologies dans l’efficacité énergétique du Nord vers le Sud.
Il est grand temps de passer à un autre modèle énergétique fondé sur ces quatre piliers: la sobriété, l’efficacité, le développement des renouvelables et la lutte contre la précarité énergétique.
Une transition énergétique bonne pour l’emploi:Les énergies renouvelables sont 6 fois plus créatrices d’emplois que le nucléaire par exemple. La transition énergétique prônée par les écologistes pourra créer 500 000 emplois supplémentaires d’ici à 2020.

Persistons contre les gaz de schiste



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Face à la forte pression exercée par les lobbies industriels et malgré certaines déclarations isolées, le Président de la République et le Gouvernement ont confirmé clairement le refus de la France de s’engager dans la voie de l’exploitation des gaz de schiste par fracturation hydraulique. C’est en effet la seule position cohérente avec l’engagement de la France dans la lutte contre le changement climatique, réaffirmé encore lors du sommet de Doha.
Dans le prolongement de ces déclarations, EELV se réjouit de l’initiative de ses parlementaires et notamment de François-Michel Lambert, député des Bouches du Rhône, qui a déposé ce mardi 11 décembre une proposition de loi pour interdire l’exploration et l’exploitation des gaz de schiste en France, par quelque technique que ce soit. Ce texte fait écho à la demande de moratoire déposée par les eurodéputé-e-s écologistes au Parlement européen.
Alors que prend forme le débat national sur la transition énergétique, rappeler la nécessité d’abandonner le recours aux hydrocarbures non conventionnels comme les gaz de schiste est une première étape pour une réorientation en profondeur de la politique française vers la sobriété énergétique et les énergies renouvelables.

lundi 10 décembre 2012

Le blog de Pierre Jestin: Per il cambiamento in Lombardia, il 15 dicembre vo...

Le blog de Pierre Jestin: Per il cambiamento in Lombardia, il 15 dicembre vo...: Alors que le suspens continue quant à la date des élections régionales -mais l’hypothèse de mi-février se confirme-  le centre-gauche org...

Per il cambiamento in Lombardia, il 15 dicembre voto Andrea DI STEFANO


Alors que le suspens continue quant à la date des élections régionales -mais l’hypothèse de mi-février se confirme-  le centre-gauche organise des primaires dans toute la Lombardie pour se présenter uni aux électeurs et penser le changement avec les citoyens lombards. A l’issue d’un mois de campagne dans toute la région, les électeurs de centre-gauche sont appelés à choisir leur candidat à la présidence de la région le dimanche 15 décembre. Aucune préinscription n’est nécessaire, le droit de vote est ouvert aux étrangers sur présentation d’un titre de séjour et à partir de 16 ans. Dans les bureaux de vote habituels de 8 à 20 heures avec une carte d’identité et la carte d’électeur.
Il y a 3 candidats et parmi eux je voterai pour Andrea Di Stefano. 46 ans, journaliste et économiste, Di Stefano dirige le mensuel économique Valori, revue de finance éthique, d’économie sociale et écologique : www.valori.it
Le vendredi de 8.00 à 9.00, il conduit sur Radio Popolare (107.6) la remarquable émission de déchiffrage de l’actualité économique et financière « il giorno delle locuste » : www.radiopopolare.it
J’ai suivi attentivement sa campagne et Andrea Di Stefano, dans le style sobre et efficace qui le caractérise a expliqué sa vision du changement en Lombardie. Son programme concret et sensible aux questions écologiques m’a convaincu.
Sur les thèmes de la santé, de l’éducation, du travail, de l’environnement, des droits, de l’entreprenariat, de l’expo,  de la circulation etc. il est le vrai candidat du changement.
Je vous invite à approfondir sa candidature et ses propositions sur : www.perunaltralombardia.it
L’interview ci-dessous à Affaritaliani.it donne déjà quelques précieuses indications:

Primarie Lombardia 2012/ Andrea Di Stefano ad Affaritaliani.it: "Vincono le idee. Entrerei in giunta con Ambrosoli o Kustermann"

Martedì, 27 novembre 2012 - 11:26:00 di Fabio Massa
Nella prima uscita pubblica tra candidati, li ha stracciati tutti. Questo, almeno, è stato il commento unanime di chi c'era. Veloce, rapido, "radiofonico". Slogan corti, pensieri lunghi.
Andrea Di Stefano, 46 anni, giornalista e autore, direttore del mensile di finanza etica e economia sociale e sostenibilità Valori, è l'outsider delle primarie per la presidenza della Regione Lombardia. In un'intervista ad Affaritaliani.it chiarisce i propri punti programmatici: "Primo: una misura straordinaria e urgente sul reddito minimo. Secondo: revisione degli accreditamenti sanitari. Terzo: ricostruire l'Agenzia per la Protezione dell'Ambiente". Poi, sulla sua candidatura, spiega: "Votare Di Stefano non è inutile perché serve a dare un segnale sui temi da portare avanti. Non corro per avere un posto, ma sarei disposto a entrare in una giunta Ambrosoli o in una giunta Kustermann. L'esperienza amministrativa non è un problema: propongo l'istituzione di un comitato scientifico che aiuti il presidente". E infine, sulla sua vita personale svela la sua passione per il basket, il fatto che possiede un'auto diesel ma che il mese prossimo passa all'elettrico e...
Andrea Di Stefano, iniziamo l'intervista con una domanda sulle primarie nazionali. Chi ha votato e chi voterà?
Ho votato Vendola e voterò Bersani al ballottaggio. Però confesso che non ho un'identificazione né con Vendola né con Bersani. Non trovo il recepimento di tutte le valutazioni che invece vedo nelle primarie lombarde. Pur votando Bersani, dico grazie a Renzi perché si è posto il rinnovo dei gruppi dirigenti. Detto questo: non condivido nulla a livello di merito e contenuto. Bersani è più vicino a una certa idea di Paese.

Lei si candida alle primarie per la scelta del candidato presidente della Regione Lombardia. Perché?
Il motivo è semplice: in questi ultimi dieci anni ho girato incontrando in tutta la Lombardia movimenti, gruppi, associazioni, che hanno messo in atto una serie di pratiche concrete di iniziative locali e stili di vita. Questo dimostra una volontà di partecipazione fortissima. L'idea base è di riportare la partecipazione, ovviamente con un'impronta di sinistra, nella convinzione che tutto questo know-how possa contribuire a fare la squadra migliore per cambiare la Regione.

Le tre priorità per Di Stefano presidente della Regione.
Primo. Una misura straordinaria e urgente per il sostegno al reddito. Bisogna avere il coraggio di trovare le risorse, e io sto lavorando sulla spending review del bilancio regionale proprio per questo. Parlo di una misura temporanea per sviluppare vere politiche attive per il lavoro. Questa forma di sostegno ci deve essere perché non possiamo pensare di lasciare da sole centinaia di migliaia di persone in difficoltà.
Seconda priorità.
La revisione dell'accreditamento nella sanità, e del miliardo di euro di spese discrezionali. Una rivoluzione che sposti l'approccio sanitario dalla cura alla prevenzione. In Lombardia abbiamo la metà degli ambulatori territoriali della media nazionale. Questo è un errore strategico perché spinge i pazienti verso i Pronto Soccorsi.
Terza priorità.
L'ambiente. Abbiamo bisogno di ricostruire l'Arpa, l'Agenzia regionale per la protezione dell'ambiente. Poi dobbiamo varare un piano per la mobilità che insista sui veicoli elettrici. Dobbiamo dare poi immediata esecuzione a uno sportello per le bonifiche, indispensabile a livello regionale e soprattutto per Brescia.
Facciamo una serie di affermazioni provocatorie. Di Stefano non può vincere, quindi votare per Di Stefano è inutile.
Assolutamente falso. Due i motivi: le primarie sono sempre un voto utile a chiunque venga dato perché serve a dare un segnale sui temi concreti da portare avanti. Questo non indebolisce nessuno, ma rafforza le idee. Non è che uno ha votato Vendola o Renzi e per questo i suoi sono stati voti sprecati. E' un gioco di democrazia. Secondo: la svolta radicale in Regione comporta la volontà radicale di confrontarsi sui contenuti.
Si dice: Di Stefano partecipa alle primarie solo per avere un posto.
No, non mi interessano i posti. Ho un sacco di cose che faccio già nella vita. Posso decidere di riprendere a fare quelle qualora non ci siano le condizioni per sviluppare un progetto. Voglio dei risultati concreti sui contenuti.
Sarebbe disposto a entrare nella giunta Ambrosoli?
Certo. Ambrosoli l'ho visto, l'ho sentito, abbiamo una reciproca stima. Lui dice molte cose che ho anticipato. A volte le riprende un paio di giorni dopo. Non c'è problema a collaborare. Bisogna sedersi e decidere quali sono gli obiettivi strategici per la Regione.
Sarebbe disposto a entrare nella giunta Kustermann?
Assolutamente sì. Il problema non è delle persone. Capisco che le primarie prevedano una personalizzazione, ma a me interessano i punti programmatici messi in campo. Non è neppure necessario che ci sia io. Basta che ci sia una delle tante professionalità che sostengono la mia candidatura e portano avanti delle idee. Dico di più: chiunque sia il prossimo presidente della Regione si dovrebbe dotare di un comitato scientifico. Un vero e proprio gruppo di esperti di supporto.
Si dice: Di Stefano non ha esperienza amministrativa. Tradotto: lei è capace di gestire miliardi di euro di spesa pubblica?
L'applicazione del criterio è questo: se uno ha le idee chiare e vuole dei risultati si riesce a perseguire l'obiettivo. Io sono dirigente di azienda e sono stato in Fondazione Cariplo. Non credo che la complessità sia molto maggiore, anche perché non è che questi fondi li si gestisce personalmente. Ci si dota di una squadra che sia in grado di usarli in modo trasparente. Io ad esempio sto facendo un'operazione di riscrittura completa del bilancio perché il mio obiettivo è di farlo partecipativo. Tanto per dirne una: la Regione Lombardia ha un sottosegretario agli Esteri e dodici rappresentanze internazionali: andrebbero tagliati.
Passiamo a una serie di domande personali. Lei insiste molto sulla mobilità elettrica. Che auto possiede?
Ho un'automobile aziendale, in questo momento. E' un diesel, perché la mia - Euro 5 - ha avuto un incidente. Il prossimo mese sperimenterò una elettrica che funzioni anche sulle lunghe percorrenze.
Che squadra tifa?
Il calcio non mi interessa. Nella pallacanestro tifo Milano, ovviamente.
Mare o montagna?
Mare. Anche se andare a ciaspolare mi piace molto. Certo, dovrei allenarmi un po' di più...
Ha votato alle ultime elezioni? Chi?
Alle ultime elezioni ho votato il Partito Democratico.
Libro preferito?
Domanda complessa, visto che leggo molto. Però divoro Camilleri, questo è certo.
L'ultima domanda: giornalisti e politici hanno spesso una visione "milanocentrica" delle regionali. Perché un abitante della Valtellina, o del mantovano, dovrebbe votare Di Stefano?
E' vero, c'è questo milanocentrismo. Dovrebbero votare me per i motivi all'inizio dell'intervista: ho girato tutta la Lombardia, dalla Valtellina alla Vialchiavenna, a Sondrio, a Como, al Bresciano... Penso di poter essere sostenuto da questi centinaia di spin doctor sul territorio. Io voglio portare i territori al Pirellone e non Milano calata dall'alto sui territori. E' l'idea simbolica di portare l'ufficio dal 36esimo piano al piano terra.

Quelques repères pour les non résidants
Après 17 ans de pouvoir, R.Formigoni (PDL, le parti de S.Berlusconi), chef politique de Comunione et Liberazione – l’une des branches politiques les plus influentes de l’église catholique- s’est donc résolu à dissoudre le Conseil régional de Lombardie après la démission de la majorité du Conseil et le lâchage de son fidèle allié la Ligue du Nord. Les scandales en tous genres (corruption, liens avec le crime organisé, affairisme, mœurs, etc.) ont considérablement affaibli ses dernies années celui qui fut souvent présenté comme le successeur accrédité de Sua Emittenza à la présidence du Conseil italien après avoir été le leader incontesté de son parti dans cette région laboratoire du berlusconisme.
La Lombardie (en italienLombardia) est une région d'Italie septentrionale, située au sud de la Suisse, à l’est du Piémont, à l’ouest de la Vénétie et au nord de l’Émilie-Romagne. La ville de Milan en est la capitale. La superficie est de 23 857 km2 et sa population est estimée à 10 004 434 habitants, ce qui en fait la région italienne la plus peuplée.
C’est avec le Piémont, la Vénétie, l’Émilie-Romagne et le Frioul-Vénétie julienne, une des cinq régions de la plaine du Pô.
Première puissance économique régionale d'Italie, la Lombardie produit à elle seule 21 % des 1 622 245 millions d’euros du PIB italien, en accueillant de nombreux pôles industriels, financiers, et commerciaux du pays. Supérieur de 35 % à la moyenne européenne, son PIB par habitant s'élevait à 33 647,7 euros en 2008, contre 26 277,7 euros pour l'Italie.
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